Enni Udon
Une escale au Japon

L’architecte Alexandre Schrepfer et la scénographe d’intérieur Chiaki Yatasui se sont associés à la conception de cet élégant écrin tout en matériaux nobles et naturels. La pureté des lignes et le minimalisme pratique mais chaleureux créent une atmosphère de sérénité où l’on peut déconnecter tout en douceur et porter toute son attention sur l’expérience Enni Udon. Des petits espaces intimistes qui composent la salle, la cuisine ouverte avec son comptoir en pierre laisse voir s’affairer les chefs minutieusement et en silence à la préparation des différents mets inscrits à la carte.
Pour mener à bien ce projet en respectant les ambitions, l’âme et le niveau d’exigence propre à la culture japonaise, Enni Udon s’est entouré des meilleurs. En salle, poussant le souci du détail à l’extrême, Hiro (Hiroaki Nagai), veille à ce que chacun se sente bien accueilli, son expérience conséquente permet à l’équipe qu’il gère de fournir une expérience de service authentiquement japonaise. En cuisine c’est le Chef Nobu (Nobutaka Hayashi) qui mène la troupe. Homme tout aussi passionné que passionnant et spécialiste de l’udon. Chef dans la vie, une fois le tablier raccroché il est également pâtissier et professeur de calligraphie (le logo d’Enni Udon, c’est lui!)., une discipline qui comme la cuisine exige précision et répétition du geste jusqu’à atteindre la perfection.
Enni Udon se découvre dans le Triangle d’Or, à quelques pas seulement de la plus belle avenue du monde. Le restaurant dissipe les contours du réel en proposant, le temps d’un repas, un voyage de tous les sens au Japon. L’accueil, les mets proposés, l’atmosphère, le cadre, tout a été pensé pour offrir aux gourmets une expérience sincèrement authentique avec à son coeur une spécialité culinaire japonaise peu commune en France, le udon.

Un mets traditionnel
Les udon seraient originaires de la préfecture Fukuoka, sur la côte nord de l'île japonaise de Kyūshū. Leur création remonterait au XIIIe siècle et c’est le moine Enni qui en aurait été l’initiateur lorsqu’il rapporta d’un voyage en Chine les plans d’une machine à moudre le blé. Leur confection nécessite trois ingrédients : de la farine de blé, de l’eau et du sel. À cela il faut ajouter un savoir-faire méticuleux, exigeant dextérité et patience, afin d’obtenir des nouilles blanches et bien épaisses, qui une fois cuites, offrent en bouche une texture incomparable, à la fois ferme et fondante
Rien que pour vous
Notre actualite

Sorry, no posts matched your criteria.